à la mémoire de mon grand père

Cellede transmettre une mémoire, de la faire vivre. Faire en sorte que les Harkis ne tombent pas dans l'oubli. Et que, dans 100 ans, on parle encore des Harkis. C'est quand même ça le défi Achetezle design « À la mémoire de mon père vétérinaire de la guerre du Vietnam, cadeau pour père et grand-père » par soufianABH sur le produit suivant : Tablier Vendez vos œuvres Connectez-vous Inscrivez-vous Lettreà mon Grand Père, Lorsque notre Ami Dominique Benoit a lu cette lettre écrite en mémoire de son Grand Père, le 11 novembre 2018, nous ne pouvions imaginer revivre de telles scènes à nos portes ! « Oui nous les remercions ces valeureux poilus de nous avoir légué ces valeurs fraternelles qui doivent continuer à exister afin que Lajournaliste Anne Sinclair revient sur la période de l'Occupation. Son grand-père a été arrêté en décembre 1941 et interné à Compiègne. Ala mémoire de mon grand-père Ahmed, homme de coeur et de foi, dont la générosité n’avait d’égal que son dévouement à ceux qu’il aimait. A la mémoire de mon oncle Ahmed, que j’ai eu la chance d’accompagner dans ses moments d’adieu avec ce monde, et dont le décès est une leçon d’humanité, d’humilité et d’amour. A la mémoire de ma petite soeur Hajar, petit ange Site De Rencontre Sérieux En Suisse Gratuit. Jennifer Teege, auteur de Amon, mon grand-père m'aurait tuée», paru chez Plon. — OLIVER HARDT / AFP La douleur des racines. A 38 ans, la vie de Jennifer Teege bascule lorsqu’elle découvre en feuilletant un livre qu’elle est la petite-fille du boucher d'Hitler», Amon Göth. Commandant du camp de concentration de Plaszo, il est responsable de la mort de juifs, qu’il dépouillait avant de tuer. Dans Amon, mon grand-père m'aurait tuée, qui vient de paraître*, elle raconte comment elle a pu se reconstruire après ce passé familial qui pesait déjà dans son existence, bien avant qu’elle n'en prenne connaissance. Car Jennifer Teege a été confiée par sa mère à un orphelinat catholique à tout juste quatre semaines et adoptée à l'âge de 7 ans. Sa mère tentant par ce biais de la délester du fardeau de l’histoire familiale» en lui permettant de changer de nom. Durant toute ma vie, entre déprimes et dépressions, j’ai toujours eu la sensation que quelque chose ne tournait pas rond», confie-t-elle. Et hasard ou signe du destin, Jennifer Teege a vécu cinq ans en poids de la descendanceSon témoignage est d'autant plus bouleversant que Jennifer est métisse, sa mère étant la fille d'Amon Göth et son père étant nigérian. Une filiation qui aurait rebuté son grand-père Il m’aurait vue comme une salissure, une bâtarde, à ses yeux j’aurais sali l’honneur de la famille. Il ne fait aucun doute que mon grand-père m’aurait tuée», déclare-t-elle. Scrutant sa ressemblance avec ce grand-père honni dans le miroir, Jennifer Teege est hantée par son souvenir. Un mort a du pouvoir sur les vivants», répète-t-elle, craignant que ces liens du sang ne la rendent folle. Mais si je décide de n’être plus que la petite-fille d’un criminel, si je cherche à expier ses fautes par ma souffrance, cela n’aidera personne, ni les victimes ni moi», se travail de mémoirePour comprendre son histoire familiale, Jennifer Teege a mené l’enquête sur ce grand-père criminel nazi. Elle découvre avec effroi les exactions de cet homme qui éprouvait du plaisir à tuer», reconnaît-elle. D’ailleurs, un survivant du camp de Plaszow disait de lui Quand on regardait Göth, c’était la mort qu’on voyait». Jennifer Teege ne s’épargne aucune image, aucun témoignage. Elle revoit La liste de Schindler, le film de Steven Spielberg, dans lequel on voit Amon Göth tirer sur des prisonniers au hasard du balcon de sa villa. Dans le monde machiste des nazis, tuer était devenu un jeu, une sorte de compétition, un sport», analyse-elle avec Teege décide même de visiter la maison Amon Göth à Cracovie Je veux voir l’endroit où mon grand-père a tué. J’ai besoin de m’approcher au plus près de lui pour pouvoir ensuite m’en éloigner», confie-t-elle. Elle décrit aussi les derniers jours de ce bourreau nazi, pendu en 1946. Mon grand-père n’a rien regretté sinon il n’aurait pas esquissé le salut hitlérien sur la potence», travail de mémoire qui lui permet de renaître une seconde fois A 40 ans à peine, je repars à zéro», conclut-elle. *Amon, mon grand-père m'aurait tuée, Jennifer Teege, Plon, 18,90 €. M. Wilson Mémoire de mon grand-père en 81 objets Spectacle bilingue français/LSF D’après une libre adaptation de Thomas Scotto Durée 55 minutesTout public à partir de 7 ansJauge 200 personnes Une rue, un jour de brocante. Chacun vide son grenier. La maison du vieux M. Wilson, au numéro 6, déborde… Depuis la mort de sa femme, il n’a rien touché Chagrin et propreté ne font pas bon ménage ! »Mais M. Wilson a aussi et surtout la mémoire pleine. Trop pleine. Ce jour là, il décide donc de vendre ses souvenirs… Il s’agit de raconter l’histoire d’un vieux qui vend ses souvenirs un jour de brocante… Il s’agit de dire qu’au moment où il vend ses souvenirs, c’est la mémoire familiale toute entière qui s’efface… et peut-être bien plus encore. Les histoires des personnes âgées me touchent. Même si parfois ça tourne pas rond et en rond, ils ont beaucoup à transmettre. La mémoire est fragile, précieuse. Dans une société où les vieux sont cachés » et n’ont plus la parole, à une époque où l’oubli se généralise, j’ai envie de parler de cette transmission intergénérationnelle car elle nous construit. Connaitre notre histoire familiale nous permet de grandir fort de notre passé… ou au contraire de couper nos racines pour aller semer ailleurs et grandir autrement. Avec ou contre, grâce ou malgré quoiqu’il en soit, nous nous construisons en fonction de cette petite histoire » qui est la notre. Note d’intention Mathilde Henry – Metteuse en scène. Les gestes sont gais, la musique nous entraine, le public s’installe, la lumière s’éteint et puis… La poésie. Poésie des gestes, des couleurs, des mots, des signes, des objets c’est avec tout cela que nous créons des mondes pour raconter cette histoire au public… Il y aura du faux, il y aura du vrai ! Mon grand-père ne m’a jamais raconté d’histoire… L’équipe de Adaptation Mathilde HENRY Co-mise en scène Mathilde HENRY et Fabio-Ezechiele SFORZINI Avec Mathilde HENRY, Emilie RIGAUD et Gilles STROCH Musique et canon de signes Gilles STROCHCréation musicale Gilles STROCHAdaptation, traduction et création LSF Emilie RIGAUD, Mathilde HENRY, Gilles STROCH, Fabio-Ezechiele SFORZINI, Sophie SCHEIDTCréation lumière Enzo GIORDANAConstruction marionnettes Mathilde HENRY accompagnée par Jo SMITHScénographie Mathilde HENRYAffiche, photos et visuels Sofie SFORZINIDiffusion Justine SWYGEDAUW MARTINEZ Entrevue avec l'auteur Lire la vidéo Lire la vidéo Si le père de Michael Jackson a joué un rôle crucial pour la carrière de ses enfants, il a aussi été accusé de maltraitance à leur encontre. Instagram/TajJackson Le petit-fils de Joe Jackson rend hommage à son grand-père et demande de respecter sa mémoire Instagram/TajJackson MORT DE JOE JACKSON - Les conflits de famille du clan Jackson, et notamment les accusations de maltraitance pesant sur Joe Jackson, n'ont pas empêché la famille de présenter un front uni à la mort du père du "Roi de la Pop" et fondateur des Jackson 5. Ce mercredi 27 juin, Taj Jackson, petit-fils de Joe Jackson et membre du groupe 3T, a publié sur Twitter un message où il rend hommage à son grand-père, dont il demande de respecter la mémoire. "Dégoûté par certains commentaires que je lis à propos de mon grand-père Joe, de la part de ceux qui ne le connaissaient même pas. S'il vous plait, ne recrachez pas ce dont la presse vous a abreuvé. Joe était aimé par TOUTE sa famille et nos cœurs souffrent. Laissez nous pleurer sans méchanceté." "Merci grand-père pour la force incroyable, la détermination et la fierté dont tu as toujours fait preuve pour cette famille. L'héritage des Jackson n'aurait pas existé sans toi. J'ai perdu mon grand-père mais le paradis a gagné un Faucon", a écrit Taj Jackson dans un second message, en faisant allusion au surnom de son grand-père. La Toya Jackson, sœur aînée de Janet et Michael, a également salué la mémoire de celui "qui a fait des Jackson une des familles les plus célèbres du monde. Je te suis extrêmement reconnaissante pour cela, je n'oublierai jamais les moments que nous avons passés ensemble." À voir également sur Le HuffPost Aurore Vigouroux, native de Cherbourg Manche, souhaite remettre la main sur des photos de son grand-père cuisinier sur un chalutier dans les années 60. Pour effacer ses regrets. Par Thibaud Delafosse Publié le 29 Mai 21 à 1839 mis à jour le 29 Mai 21 à 1840 Comme le Jacques-Louise, La Belle Poule a été édifiée par les chantiers navals Bellot. ©La Presse de la MancheAurore Vigouroux nourrit des regrets. Elle qui n’a pas écouté plus attentivement son grand-père maternel, Robert Leguen, lorsqu’il racontait la dizaine d’années passées à bord d’un chalutier. Décédé il y a quatre ans, l’homme fut cuisinier sur La Belle Poule jusqu’en 1968, un bateau construit à Cherbourg Manche en 1956 par les chantiers navals Bellot. Les mêmes qui en juillet 1959, quelques années avant d’être liquidés judiciairement en octobre 1997, mettaient à l’eau le Jacques-Louise. Un chalutier classé monument historique, qui a récemment été acheté par la ville de Cherbourg-en-Cotentin dans le but de le restaurer et de l’ouvrir aux visiteurs. Des petites couchettes étroites »Revenons-en à La Belle Poule, le premier chalutier édifié par les chantiers navals Bellot. Un bâtiment pas très confortable, où Robert Leguen et les 5/6 membres de l’équipage dormaient dans des petites couchettes très étroites ». Avec, qui plus est, le bruit infernal continuel du moteur ». L’un des pêcheurs en a même eu le mal de mer toute sa vie ». Ces bribes de souvenirs sont les seuls d’Aurore Vigouroux et de sa mère. La femme de 35 ans, native de Cherbourg, souhaite désormais effacer ses regrets. Je n’ai aucune image de lui pendant cette partie de sa vie, aucune de lui sur le bateau. Je le regrette car il en parlait souvent mais je ne m’y suis jamais vraiment intéressée. Je n’ai pas énormément échangé avec lui sur le sujet. »Enrichir l’histoire familiale A défaut de l’aborder du vivant de son grand-père, Aurore tient à retrouver de vieilles photos du chalutier. Pour ce faire, elle a notamment publié des annonces sur plusieurs groupes Facebook. Cette envie lui est venue il y a environ un mois. L’association Cherbourgetoi dont je fais partie va bientôt organiser un évènement sur le thème de la mer, ce qui m’a motivée pour me replonger dans la vie de mon grand-père. Nous en parlions aussi lors des repas de famille. »En connaissant mieux l’histoire de son grand-père, qui fut par ailleurs dans la marine marchande et à le milieu de la chaufferie à Cherbourg, l’objectif de la trentenaire est aussi d’enrichir son histoire familiale ». Il est important de connaître la vie de nos aînés ! Je me rends compte maintenant que c’est notre héritage à tous. Il y a deux semaines, par exemple, j’ai passé quelques jours chez ma grand-mère bretonne de 93 ans qui m’a raconté plein de choses sur sa vie… » Histoire de ne plus jamais avoir de regrets. Cet article vous a été utile ? Sachez que vous pouvez suivre La Presse de la Manche dans l’espace Mon Actu . En un clic, après inscription, vous y retrouverez toute l’actualité de vos villes et marques favorites. Homme du futur », l’arrière-grand-père de David B. Ricard aurait peut-être apprécié notre époque obsédée par la collecte d’images et l’immortalisation visuelle de nos moindres gestes. Comme plusieurs de ses contemporains, il capturait avec une caméra 8 mm les scènes de sa vie familiale. À la mort de l’aïeul, cet abondant matériel, tourné entre 1956 et 1976, a été légué à Ricard, alors ado de 16 ans aspirant à devenir cinéaste. Aujourd’hui documentariste et fréquent collaborateur scénique de Florent Siaud, celui-ci s’en est inspiré pour Le Kodak de mon arrière-grand-père, dramatisé et mis en scène par Valery Drapeau. Une création assez originale sur la filiation, la mémoire et le temps, qui combine cinéma, théâtre documentaire et performance musicale. Entre narration autobiographique et explications techniques sur le fonctionnement de ces machines obsolètes qu’il réussit avec soulagement à utiliser sur scène, David B. Ricard commente des images, enregistrant le plus souvent des existences ordinaires Noëls, soupers de famille, vacances… Et il interroge parfois les coutumes qui nous semblent désormais étranges où s’est perdue cette tradition de s’embrasser sur la bouche, au sein d’une famille ? Pourquoi se donnait-on en cadeaux des liasses de dollars ? Quant à la découverte surprise d’un film révélant un premier mariage de son père, elle mènera à une discussion qui sera l’un des moments forts du récit. Le spectacle dessine en effet le parcours d’un artiste qui, jeune, avait soif de relations affectives plus profondes, et était plutôt désolé par la nature matérialiste de ces archives filmiques, mais qui paraît comprendre aujourd’hui comment il se relie à cette famille. Et saisir l’importance des objets, ces ancrages et témoins de nos vies, qui nous lient au passé. Entre le passé et le présent Dans la salle intime du théâtre Prospero comme on l’a rarement vue, transformée en studio par la scénographe Justine Bernier-Blanchette, les trois murs créent un environnement enveloppant pour la musique atmosphérique du guitariste Roger Cournoyer et du percussionniste Andrew Beaudoin. Dont quelques scènes prenantes où musique et images en boucle se répondent, comme créant un pont entre présent et passé, entre actions en direct et images figées dans le temps. La création comporte d’ailleurs une part d’improvisation, d’où le côté spontané et donc parfois un peu brouillon du texte, où la réflexion ne va pas toujours très loin. D’où aussi certaines longueurs ainsi, quelques tentatives maladroites pour engager directement le public nous semblent inutiles. Mais s’il n’y a généralement rien de spectaculaire dans ces images d’inconnus engagés dans des activités banales, c’est leur nature à la fois familière et étrange qui fait leur universalité, et donc leur intérêt. Elles témoignent d’un passé commun, celui de la classe moyenne québécoise, et le récit individuel devient ainsi une histoire collective. Est-ce que, se demande David B. Ricard, nos selfies deviendront aussi un matériau intéressant dans 20 ans ? À voir en vidéo

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